Jean-Luc KINIFFO, 60 ans, marié et papa de 5 enfants. Manager à profil atypique, car ayant démarré sa carrière comme agent Commercial, avant de passer au Conseil en Productivité et en Management, puis aux Ressources Humaines. Ses armes, il les a forgées, pour l’essentiel, dans des projets soit en Europe, en Asie ou en Amérique. Leurs fins étaient les mêmes : une frange des employés était redondante du fait d’une meilleure productivité inhérente à la restructuration. Et, il fallait, soit libérer lesdits employés, soit améliorer leur employabilité pour un recyclage dans de nouveaux emplois ou secteurs. Après l’Espagne, la Belgique, l’Allemagne et la Thaïlande, Jean-Luc KINIFFO a compris qu’il se sentait plus à l’aise dans la gestion des Ressources Humaines. Il fait alors la transition en obtenant un diplôme en Management des Ressources Humaines, seul sésame pour le résident français qu’il était, contrairement aux résidents anglais ou allemands dont on valorisait plus l’expérience. Pour que sa carrière dans le Management des Ressources Humaines prenne son envol, ce manager un peu atypique, comme son profil l’indique, a dû arrêter de travailler pour consacrer une année de plus à des études en Management des Ressources Humaines à la Paris School of Business. À sa sortie, il fut engagé à la Direction de la Formation du Groupe pétrolier Total pour travailler sur des formations sur mesure pour les dirigeants et les cadres, dont la plus connue fut « l’Art d’influencer » en collaboration avec la Babson College de Wellesley, dans le Massachusetts aux Etats-Unis d’Amérique. Il est « chassé » ensuite par un cabinet français pour occuper le poste de DRH Groupe au sein d’un Groupe israélien qu’il quittera 2 ans et demi plus tard après la faillite de ce dernier. Il lui sera proposé en 2014 le poste de DRH de UBA Bénin, la banque du panafricain et père de l’Africapitalisme Tony ELUMELU avant qu’il ne lance en 2017 son cabinet FCI, puis FCI Côte d’Ivoire depuis 2022.